La pharmacie
| La pharmacie est une institution en France. Ici à Lyon, Bénédicte Tassart peut faire des miracles pour vous et répondre à toutes vos questions. |
| Nathalie : « Alors, les gens viennent vous voir pour quoi ? » |
| Bénédicte : « Pour quoi ? Pour tous les types de maux. Alors, soit ils viennent chercher une ordonnance, soit ils viennent demander un conseil, soit ils viennent pour discuter de problèmes divers et variés qui n’ont parfois... parfois rien à voir avec la pharmacie. Mais ça fait rien, on est là pour ça aussi. » |
| Nathalie : « Est-ce que les jeunes viennent aussi vous voir ? Et pourquoi ? » |
| Bénédicte : « Ils viennent beaucoup nous voir parce qu’ils n’osent pas discuter avec d’autres personnes, avec leurs parents ou leurs professeurs. Et ils viennent nous demander des petits conseils sur euh... les pilules, les... ou sur la protection par rapport à leur mode de vie, les préservatifs à utiliser, comment et pourquoi ? » |
| Nathalie : « La France est renommée pour quelque chose de très spécial, les suppositoires ! » |
| Bénédicte : « Sans blague ! Et c’est pourtant une forme que les français détestent. C’est étonnant ! À chaque fois que je conseille un suppositoire pour un mal de gorge, je vois une moue en face de moi terrible !Et c’est pourtant la seule forme idéale pour soigner des maux de gorge. » |
| Nathalie : « Vous avez une histoire amusante à nous raconter ? » |
| Bénédicte : « Un vieux grand-père vient un jour à la pharmacie, une pharmacie de campagne, et vient demander un stéthoscope, un stéthoscope pourquoi donc ? Eh bien, il a avoué qu’il avait oublié le code de son coffre-fort et que le seul moyen pour lui de retrouver le code c’était d’acheter un stéthoscope. C’était assez étonnant parce que vraiment quelque chose d’assez rare comme demande en pharmacie ! » e ?’ » |
| Ambiance : « Merci bonne journée, merci ! » |
| Bénédicte : « Pour un mal de gorge, je vous conseille, sucez six à huit pastilles par jour avec un petit comprimé d’aspirine trois fois par jour, pendant quarante-huit heures ! » |
